
les 25 et 26 octobre
les 27 et 28 octobre
SETE :
les 22 et 23 octobre
Brassens a 100 ans.
Bon anniversaire monsieur.
Centenaire Georges Brassens Ep. 11 avec François Morel
«Raymond Devos, mesdames et messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien. Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare. Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça! Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé.»
François Morel
Spectacle de et avec François Morel
Textes Raymond Devos
Avec Antoine Sahler ou Romain Lemire
Musique : Antoine Sahler
Assistant à la mise en scène : Romain Lemire
Lumières : Alain Paradis
Son : Camille Urvoy
Costumes : Elisa Ingrassia
Poursuite : Françoise Chapero ou Madeleine Loiseau
Conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes :
Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt/ Blick Théâtre
Direction technique : Denis Melchers
Archives sonores : INA (Radioscopie 1975)
Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand et la Fondation Raymond Devos
Affiche : Pascal Rabaté (visuel) et Frédéric Méi (graphisme)
Création : 22 mai 2018
Durée : 1h30
Production
Commande de Jeanine Roze Production pour les Concerts du Dimanche Matin.
Les Productions de l’Explorateur, Châteauvallon, Scène nationale, La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle, La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France.
Production déléguée : Valérie Lévy assistée de Manon Pontais
Teaser :
Quartz & Curious François Morel :
Merci Monsieur Devos ! Par François Morel :
Raymond Devos en tête à tête avec François Morel :
Raymond Devos en tête à tête avec François Morel @morelexplo. Ça fait envie, non ? L’un pose les questions, l’autre y répond. L'INA et @Telerama se sont mis sens dessus dessous pour vous offrir cette rencontre inédite entre deux maitres des mots. On espère qu'elle vous plaira. pic.twitter.com/QQPeYiXH45
— Ina.fr (@Inafr_officiel) December 20, 2019
Partez en bonne compagnie fêter la mer et l’amitié : avec François Morel à la proue, l’humour est sur le pont, les chants de marins gonflent les voiles !
Feuilletant une vieille revue trouvée dans un vide-greniers, François Morel découvre les chansons d’un marin breton, Yves-Marie Le Guilvinec, disparu en mer en 1900. Auteur inconnu natif de Trigavou, près de Saint-Malo, Le Guilvinec laisse à la postérité des poèmes tracés au calva, des lettres imbibées de tafia, et une existence d’oublié océanique.
François Morel et ses complices Gérard Mordillat et Antoine Sahler recomposent les chansons disparues. Sur scène, François Morel, entouré d’Antoine Sahler, Romain Lemire, Amos Mâh et Muriel Gastebois, redonne corps et voix aux mots du poète dont il s’empare avec gourmandise : « Je n’irai pas à la morue mon capitaine mon capitaine, je n’irai pas à la morue sans avoir embrassé Lulu (…) ». Ensemble, ils prennent le large et réhabilitent à contre-courant une poésie joyeuse et populaire, dans un hymne à l’ivresse de l’air salé, à la liberté et à la fête.
Nul doute que vous fredonnerez longtemps « Tous les marins sont des chanteurs… ».
Biographie Gérard Mordillat
Chansons Yves-Marie Le Guilvinec – adaptées et réarrangées par François Morel, Gérard Mordillat et Antoine Sahler
Musique Antoine Sahler
avec
François Morel
Romain Lemire / Gérard Mordillat
Antoine Sahler : guitare, clavier, accordéon, trompette, chœur
Amos Mah : violoncelle, guitare, chœur
Muriel Gastebois : percussions, chœur
Décor : Edouard Laug / Lumière : Alain Paradis / Son : Yannick Cayuela / Vidéo : Camille Urvoy / Costumes : Elisa Ingrassia
Direction technique : Denis Melchers
Habilleuse : Ève Le Trévédic
Affiche : Frédéric Mei
Réalisation du décor : Les Ateliers Jipanco
et Cie
Remerciements : Jean-Yves Crochemore
Durée : environ 1h30
Production : Les Productions de l’Explorateur
avec le soutien du Centre National de la Musique, du Théâtre du Vésinet et du Théâtre de l’Olivier – Scènes et Cinés, scène conventionnée Art en territoire et le partenariat d’Armorlux
Production déléguée : Valérie Lévy
assistée de Manon Pontais
Teaser :
« Tous les marins sont des chanteurs, comédie musicale drolatique, drôlerie enchantée, patronage très haut de gamme, le tout réglé comme du papier à musique par ce pitre amiral qu’est François Morel. »
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» Un divertissement léger, espiègle, et tout l’art du grand François Morel pour donner un supplément de sentiment à cette épopée bretonne qui sent bon le varech et l’air salé. A voir entre amis, pour se détendre et rire. Car c’est très drôle, souvent, évidemment, avec cette bande ! Et ça fait du bien. »
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« Morel n’est pas breton, il est normand, mais connaissant son talent de chanteur et de comédien, la drôlerie et la finesse de ses billets pour France Inter, on se doute que, malgré la mélancolie des chansons de marin, le spectacle n’est pas triste. »
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» Le résultat est formidable. Outre la poésie des mots, parfois crus, il y a la qualité musicale de ce florilège d’airs entraînants et vivifiants. »
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» (…) Voilà pourquoi le travail mémoriel entamé par François Morel, Gérard Mordillat et Antoine Sahler n’est pas seulement une réussite théâtrale : il est un hommage vibrant à tous les prolétaires de Bretagne et d’ailleurs (…). L’ensemble compose un spectacle épatant d’émotion, de drôlerie et de poésie. À ne pas rater ! »
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Retrouvez en cliquant ici la Revue de presse complète suite aux représentation du Théâtre du Rond-Point.
Après avoir écrit ce livre malicieux à quatre mains, édité chez Plon, François Morel, le père et Valentin, le fils se rejoignent sur scène pour une lecture à deux voix des meilleures pages d’un dictionnaire pas comme les autres. François parle à la radio, le vendredi matin sur France Inter et monte sur les planches ; il a la drôlerie des années 50 mêlées à l’humour d’aujourd’hui. Valentin a été assistant réalisateur au cinéma, puis l’heureux chauffeur de Jean-Pierre Bacri. Il est actuellement en pleine reconversion professionnelle.
Leur livre plein d’échos et de réminiscences est aussi indispensable qu’inutile. Une promenade de A à Z dans nos émotions. Un dictionnaire alliant futile et indispensable : commentant les souvenirs et évocations des ricochets et des cocottes en papier, l’expression « peigner la girafe », les petits trains électriques, les télégrammes de première et les speakerines…. L’ouvrage pose aussi ses questions fondamentales : L’homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L’idiot du village moins nécessaire que le membre de l’Institut ? … Les notices et définitions de leur dictionnaire musardent et vantent les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, ou comble du confort domestique : explicite comment se sentir mieux, rien qu’en écoutant la météo marine bien au chaud sous la couette…
Durée : 60 mn
Raconter des histoires, encore et toujours.
Qu’est ce que je peux faire d’autre? (Je ne sais pas quoi faire d’autre…)
Ce serait le spectacle qui viendrait juste après la fin du monde.
Raconter des histoires, mais cette fois-ci en chansons.
Plaisir de la musique et surtout des musiciens.
Antoine Sahler, harmonisateur en chef, accompagné de Sophie Alour ou Tullia Morand, Muriel Gastebois et Amos Mah.
On ne change pas une équipe qui gagne (à être connue).
Traquer l’émotion toujours et sans répit.
La voix d’Amalia, une valse sentimentale, une vieille dame sur un banc philosophe le temps de reprendre sa respiration…
Chanter, rire, pleurer, se consoler.
Juliette dirigerait les opérations avec le sérieux d’une Générale d’Artillerie dans un bac à sable.
On ne change pas une équipe qui gagne (du temps) à se connaître.
François Morel
Avril 2015
NOUVEAU CONCERT DE FRANÇOIS MOREL ET D’ANTOINE SAHLER
MIS EN SCENE PAR JULIETTE
Création le 13 janvier 2016 à La Coursive,
Scène Nationale de La Rochelle
Avec :
François Morel
Muriel Gastebois : batterie, vibraphone, percussions
Amos Mah : contrebasse, violoncelle, guitares
Antoine Sahler : piano, claviers, trompette
Tullia Morand ou Sophie Alour ou Lisa Cat-Berro: saxophones, trombone, flûte, clavier
Lumières : Gaëlle de Malglaive assistée d’Alain Paradis
Costumes : Elisa Ingrassia
Son : Yannick Cayuela
Direction technique : Denis Melchers
Production déléguée : Valérie Lévy
Durée : environ 2h
Age : à partir de 12 ans
Production : Les Productions de l’Explorateur
La Coursive – Scène Nationale de la Rochelle
La Filature – Scène Nationale de Mulhouse
Avec le soutien de l’ADAMI, du CNV et de la SACEM
Trucs inutiles, le clip officiel :
Ce baiser (Clip officiel) :
Faire un disque c’est bien mais… (1/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (2/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (3/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (4/4) :
C’est bien simple : Rose et Hyacinthe, mariés depuis quarante cinq ans, ensemble depuis toujours, ne s’entendaient sur rien. Hyacinthe et Rose. Rose et Hyacinthe. Hyacinthe était coco, Rose était catho. Hyacinthe aimait boire, Rose aimait manger. Hyacinthe aimait la bicyclette, la pêche à la ligne, le vin rouge, la belote et les chants révolutionnaires. Rose préférait les mots-croisés, le tricot, l’eau de Mélisse, les dominos et les cantiques.
Hyacinthe aimait traîner… À table, au lit, au bistrot, avec les copains, sur un banc, dans un champ, sur les talus, à observer les nuages… «Tu n’es qu’un Père Traînard» lui disait Rose qui était toujours la première debout, la première couchée, la première assise à table, la première levée de table, le repas à peine terminé déjà devant l’évier à nettoyer sa vaisselle. «Madame Gonzales» l’avait surnommé Hyacinthe. En souvenir de Speedy.
Ils avaient dû s’aimer mais c’était il y a longtemps. Il est même probable qu’ils aient pu faire l’amour. L’existence d’une descendance de douze enfants, de neuf petits enfants le laisserait fortement supposer. Moi, j’étais un de ces neuf…
François Morel
François Morel
Antoine Sahler au piano
150 représentations au 15 novembre 2016
Texte et mise en scene
François Morel
Scénographie Edouard Laug
Lumière Alain Paradis
Production déléguée :
Valérie Lévy et
Constance Quilichini
Texte édité aux éditions
Thierry Magnier
Une coproduction La Pépinière,
Les Productions de l’Explorateur
Mettons la jolie nappe blanche
Les fleurs coupées
Le vin au frais
Allons déjeuner sous les branches
Ça va tomber par où ça penche
La fin du monde est pour dimanche
Promettez-moi de ne pas rire : je rêve d’un spectacle existentiel. Oui, allons-y, ne nous gênons pas, ne nous mouchons ni du pied, ni du coude, il s’agirait d’un spectacle traitant de la vie, de la mort, autant dire que je deviens ambitieux avec l’âge. Justement, il y sera question de l’âge et du temps qui passe, et aussi de la recherche du bonheur.
Il y sera forcément question de la déchéance, des amours impossibles et d’autres sujets aussi délicieux.
Oui, je rêve d’un spectacle existentiel : promettez-moi de rire !
S’imaginer encore un peu
Presque éternel
Presque immortel
Juste avant de se dire adieu
Ça va tomber par où ça penche
La fin du monde est pour dimanche
François Morel
Créé le 08 avril 2013, La Coursive,
scène nationale de la Rochelle.
319 représentations au 3 septembre 2016
Avec François Morel
Mise en scène Benjamin Guillard
Texte de François Morel
Scénographie, lumière et
vidéo Thierry Vareille
Effets vidéos et post-production Etienne Waldt
Assistant lumière Alain Paradis
Son Mehdi Ahoudig
Costumes Christine Patry
Direction technique Denis Melchers
Production déléguée :
Valérie Lévy et
Constance Quilichini
Acteur de variétés, j’ai longtemps été chanteur. Notamment sous la douche, en conduisant ma voiture ou ma tondeuse à gazon. Avec « Collection Particulière », j’ai osé, grâce à la complicité amicale de Reinhardt Wagner et de Jean-Michel Ribes, franchir le Rubicon, chanter sur une scène, derrière un micro, avec un vrai piano et de vraies lumières.
Aujourd’hui, je propose un nouveau rendez-vous avec cet amour de jeunesse qu’est la chanson…
Il y sera question de lendemain de fêtes, de cas sociaux et de nappes à carreaux. On y entendra la voix du GPS mais pas celle du Bon Dieu.
Une croisière qui j’espère s’amusera puisque Juliette, à la mise en scène et Antoine Sahler, parmi d’autres, feront partie du voyage.
François Morel
Création le 24 février 2010
à La Coursive, La Rochelle
124 représentations au 30 septembre 2013
Mise en scène Juliette
Textes et interprétation François Morel
Accompagné de Antoine Sahler,
Lisa Cat-Berro, Muriel Gastebois
Musiques Antoine Sahler,
Reinhardt Wagner
Lumières Gaëlle de Malglaive
assistée d’Alain Paradis
Décor Nils Zachariasen
Costumes Pascale Bordet
assistée de Caroline Martel
Son Yoan Corchia
Régie générale Denis Melchers
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène Nationale de La Rochelle
Production déléguée :
Valérie Lévy et Corinne Honikman
assistées de Constance Quilichini
Avec le soutien de la Sacem
et l’aide des sociétés Selmer et Premier
Durée 1h30
Oh! lala ! je peux très bien supporter un récital de chansons !
Un pianiste, un public, des histoires d’amour.
Une eau bénite, un lanceur de couteaux, Pompidou.
Un sens giratoire, une écuyère.
Des paroles, des musiques, du fromage
Un vrai cabaret, en amitié avec Jean-Michel Ribes.
François Morel
204 représentations entre le 5 janvier 2006
et le 17 juin 2008
Un spectacle de François morel
et Jean-Michel Ribes
Musique composée* et interprétée par Reinhardt Wagner
*sauf pour les musiques de Vincent Delerm
(Les Documentaires) et Juliette (Paulo Virginie)
Mise en scène et textes Jean-Michel Ribes
Textes et interprétation des chansons François Morel
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène nationale de La Rochelle
et le Théâtre du Rond-Point
Production déléguée
Valérie Lévy et Corinne Honikman
Sortie du disque chez Polydor en novembre 2006
et du DVD en mars 2007
J’ai eu l’idée de ce spectacle en pensant à Olivier Broche. Sa passion pour le cinéma, sa véhémence parfois, m’ont rappelé celles de Jean-Louis Bory du temps où il participait au « Masque et la Plume ». J’ai approfondi l’idée, je me suis dit que nous pouvions avoir là une belle idée de spectacle qui permettrait de parler du cinéma, de la critique, de l’amitié. Parler également de cette passion de débattre, de s’opposer qui rend les amitiés plus fructueuses, la vie plus vivante.
Jean-Louis Bory et Georges Charensol, c’est pour faire vite, la querelle des modernes et des anciens. Jean-Louis est écrivain. Il a eu le prix Goncourt juste après guerre. Il épouse les combats des années 70 (la libération sexuelle, la défense de l’homosexualité, le féminisme). Georges, est plus âgé, il a écrit plusieurs livres sur ses amis peintres, il regarde le monde et le cinéma avec de la distance. Il « nuance ». Il est moins passionné sans doute mais ne confond jamais les enjeux de sa propre vie avec ceux des films qu’il doit critiquer.
Un jour, au café, avant l’enregistrement d’une émission du « Masque et la Plume », Bory et Charensol ont décidé de théâtraliser leurs différences de vue sur le cinéma. Pour revitaliser l’émission, ils ont décidé de mettre en scène leurs dissensions, leurs différences, leurs oppositions. Le succès de leur duo vient sans doute de là. Ils se sont amusés à être parfois méchants l’un vis à vis de l’autre mais leurs relations étaient sous tendues par un vrai respect mutuel, peut-être une affection.
J’ai eu envie de décontextualiser les échanges entre les deux critiques. Oublier le cadre de l’émission de radio, oublier le présentateur, les autres protagonistes et se concentrer juste sur deux personnages, sorte de Bouvard et Pécuchet dont les seuls sujets de conversation seraient les films qu’ils ont vus. Nous sommes dans une salle de cinéma, un peu défraichie. Certains fauteuils sont cassés. On se dit qu’on est à la fin d’une période, celle de la cinéphilie. L’ouvreuse, sans doute, sur son i-phone regarde négligemment Lawrence D’Arabie…
François Morel
Création le 3 mai 2011
à La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle
172 représentations au 30 septembre 2013
avec Olivier Saladin, Olivier Broche,
et Lucrèce Sassella
Mise en scène François Morel
avec la collaboration artistique de
Christine Patry
Adaptation François Morel
et Olivier Broche
d’après les échanges entre
Georges Charensol et Jean-Louis Bory
à l’émission radiophonique
« Le Masque et La Plume » sur France-Inter
Décor Edouard Laug
Lumières Gaëlle de Malglaive, assistée d’Alain Paradis
Costumes Christine Patry et Pascale Bordet
Chorégraphie Lionel Ménard
Direction technique Denis Melchers
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène Nationale de La Rochelle
avec le soutien de l’INA, de France INTER
et d’Ermont sur scènes – Commune d’Ermont
Décor réalisé par les ateliers du Théâtre du Nord
Production déléguée :
Valérie Lévy et Corinne Honikman
assistées de Constance Quilichini