
les 25 et 26 octobre
les 27 et 28 octobre
SETE :
les 22 et 23 octobre
Brassens a 100 ans.
Bon anniversaire monsieur.
Centenaire Georges Brassens Ep. 11 avec François Morel
Raconter des histoires, encore et toujours.
Qu’est ce que je peux faire d’autre? (Je ne sais pas quoi faire d’autre…)
Ce serait le spectacle qui viendrait juste après la fin du monde.
Raconter des histoires, mais cette fois-ci en chansons.
Plaisir de la musique et surtout des musiciens.
Antoine Sahler, harmonisateur en chef, accompagné de Sophie Alour ou Tullia Morand, Muriel Gastebois et Amos Mah.
On ne change pas une équipe qui gagne (à être connue).
Traquer l’émotion toujours et sans répit.
La voix d’Amalia, une valse sentimentale, une vieille dame sur un banc philosophe le temps de reprendre sa respiration…
Chanter, rire, pleurer, se consoler.
Juliette dirigerait les opérations avec le sérieux d’une Générale d’Artillerie dans un bac à sable.
On ne change pas une équipe qui gagne (du temps) à se connaître.
François Morel
Avril 2015
NOUVEAU CONCERT DE FRANÇOIS MOREL ET D’ANTOINE SAHLER
MIS EN SCENE PAR JULIETTE
Création le 13 janvier 2016 à La Coursive,
Scène Nationale de La Rochelle
Avec :
François Morel
Muriel Gastebois : batterie, vibraphone, percussions
Amos Mah : contrebasse, violoncelle, guitares
Antoine Sahler : piano, claviers, trompette
Tullia Morand ou Sophie Alour ou Lisa Cat-Berro: saxophones, trombone, flûte, clavier
Lumières : Gaëlle de Malglaive assistée d’Alain Paradis
Costumes : Elisa Ingrassia
Son : Yannick Cayuela
Direction technique : Denis Melchers
Production déléguée : Valérie Lévy
Durée : environ 2h
Age : à partir de 12 ans
Production : Les Productions de l’Explorateur
La Coursive – Scène Nationale de la Rochelle
La Filature – Scène Nationale de Mulhouse
Avec le soutien de l’ADAMI, du CNV et de la SACEM
Trucs inutiles, le clip officiel :
Ce baiser (Clip officiel) :
Faire un disque c’est bien mais… (1/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (2/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (3/4) :
Faire un disque c’est bien mais… (4/4) :
NOTE D’INTENTION
« Vous avez tout à fait raison monsieur le Premier Ministre… »
Ces phrases ont rejoint dans nos mémoires les répliques célèbres de notre littérature et plus particulièrement de notre répertoire théâtral.
Les débats sont des rituels réglementés et mis en scène. Ils traversent à leur manière les grandes préoccupations d’un peuple et de son histoire ; à distance on y retrouve la forme et les traits d’une époque.
La confrontation idéologique, celle des caractères et de la pensée, l’excellence du dialogue honore une fois encore le fondement même de la démocratie, très vite la rumeur et les commentaires vont l’appeler : face à face ou duel, on parlera même de mise à mort !
Oui, il y a bien quelque chose de shakespearien dans ce combat d’homme à homme, un Prince défie le vieux Roi. De la mort de l’un, du triomphe de l’autre dépend la destinée du royaume.
De rependre ces textes qui ont pesés dans notre histoire, de ne surtout pas en imiter ses interprètes au charisme légendaire mais d’en redonner à entendre autrement la « pièce » ce n’est ni militant ni expérimental, c’est accompagner et questionner le temps traversé, c’est lui tendre son miroir.
C’est aussi se rappeler aux moments si délicats d’une élection présidentielle que les sujets déclarés et urgents aujourd’hui étaient déjà ceux d’hier ; en particulier la fragilité de plus en plus manifeste de la démocratie.
Dès la naissance de la démocratie athénienne, Eschyle, Sophocle,
Euripide, les premiers auteurs de théâtre semblent fabriquer un outil pour faire réfléchir le citoyen sur la politique, pour faire œuvre de pédagogie.
Toute l’histoire du théâtre occidental est tributaire de cette origine et dans ce Débat où se joue la plus haute fonction de l’état le lien devient transparent et immédiat entre la scène et la cité.
Ce débat fut « joué » et enregistré, il dort à présent dans les archives de l’INA, nous le « jouons » et comme le disait Louis Jouvet : « Au théâtre on joue, au cinéma on a joué ».
Jacques Weber
1988, LE DÉBAT MITTERRAND-CHIRAC
De Jacques Weber
Mise en scène Jacques Weber
Avec Jacques Weber, François Morel, magali Ronsenzweig
C’est bien simple : Rose et Hyacinthe, mariés depuis quarante cinq ans, ensemble depuis toujours, ne s’entendaient sur rien. Hyacinthe et Rose. Rose et Hyacinthe. Hyacinthe était coco, Rose était catho. Hyacinthe aimait boire, Rose aimait manger. Hyacinthe aimait la bicyclette, la pêche à la ligne, le vin rouge, la belote et les chants révolutionnaires. Rose préférait les mots-croisés, le tricot, l’eau de Mélisse, les dominos et les cantiques.
Hyacinthe aimait traîner… À table, au lit, au bistrot, avec les copains, sur un banc, dans un champ, sur les talus, à observer les nuages… «Tu n’es qu’un Père Traînard» lui disait Rose qui était toujours la première debout, la première couchée, la première assise à table, la première levée de table, le repas à peine terminé déjà devant l’évier à nettoyer sa vaisselle. «Madame Gonzales» l’avait surnommé Hyacinthe. En souvenir de Speedy.
Ils avaient dû s’aimer mais c’était il y a longtemps. Il est même probable qu’ils aient pu faire l’amour. L’existence d’une descendance de douze enfants, de neuf petits enfants le laisserait fortement supposer. Moi, j’étais un de ces neuf…
François Morel
François Morel
Antoine Sahler au piano
150 représentations au 15 novembre 2016
Texte et mise en scene
François Morel
Scénographie Edouard Laug
Lumière Alain Paradis
Production déléguée :
Valérie Lévy et
Constance Quilichini
Texte édité aux éditions
Thierry Magnier
Une coproduction La Pépinière,
Les Productions de l’Explorateur
Mettons la jolie nappe blanche
Les fleurs coupées
Le vin au frais
Allons déjeuner sous les branches
Ça va tomber par où ça penche
La fin du monde est pour dimanche
Promettez-moi de ne pas rire : je rêve d’un spectacle existentiel. Oui, allons-y, ne nous gênons pas, ne nous mouchons ni du pied, ni du coude, il s’agirait d’un spectacle traitant de la vie, de la mort, autant dire que je deviens ambitieux avec l’âge. Justement, il y sera question de l’âge et du temps qui passe, et aussi de la recherche du bonheur.
Il y sera forcément question de la déchéance, des amours impossibles et d’autres sujets aussi délicieux.
Oui, je rêve d’un spectacle existentiel : promettez-moi de rire !
S’imaginer encore un peu
Presque éternel
Presque immortel
Juste avant de se dire adieu
Ça va tomber par où ça penche
La fin du monde est pour dimanche
François Morel
Créé le 08 avril 2013, La Coursive,
scène nationale de la Rochelle.
319 représentations au 3 septembre 2016
Avec François Morel
Mise en scène Benjamin Guillard
Texte de François Morel
Scénographie, lumière et
vidéo Thierry Vareille
Effets vidéos et post-production Etienne Waldt
Assistant lumière Alain Paradis
Son Mehdi Ahoudig
Costumes Christine Patry
Direction technique Denis Melchers
Production déléguée :
Valérie Lévy et
Constance Quilichini
Acteur de variétés, j’ai longtemps été chanteur. Notamment sous la douche, en conduisant ma voiture ou ma tondeuse à gazon. Avec « Collection Particulière », j’ai osé, grâce à la complicité amicale de Reinhardt Wagner et de Jean-Michel Ribes, franchir le Rubicon, chanter sur une scène, derrière un micro, avec un vrai piano et de vraies lumières.
Aujourd’hui, je propose un nouveau rendez-vous avec cet amour de jeunesse qu’est la chanson…
Il y sera question de lendemain de fêtes, de cas sociaux et de nappes à carreaux. On y entendra la voix du GPS mais pas celle du Bon Dieu.
Une croisière qui j’espère s’amusera puisque Juliette, à la mise en scène et Antoine Sahler, parmi d’autres, feront partie du voyage.
François Morel
Création le 24 février 2010
à La Coursive, La Rochelle
124 représentations au 30 septembre 2013
Mise en scène Juliette
Textes et interprétation François Morel
Accompagné de Antoine Sahler,
Lisa Cat-Berro, Muriel Gastebois
Musiques Antoine Sahler,
Reinhardt Wagner
Lumières Gaëlle de Malglaive
assistée d’Alain Paradis
Décor Nils Zachariasen
Costumes Pascale Bordet
assistée de Caroline Martel
Son Yoan Corchia
Régie générale Denis Melchers
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène Nationale de La Rochelle
Production déléguée :
Valérie Lévy et Corinne Honikman
assistées de Constance Quilichini
Avec le soutien de la Sacem
et l’aide des sociétés Selmer et Premier
Durée 1h30
Oh! lala ! je peux très bien supporter un récital de chansons !
Un pianiste, un public, des histoires d’amour.
Une eau bénite, un lanceur de couteaux, Pompidou.
Un sens giratoire, une écuyère.
Des paroles, des musiques, du fromage
Un vrai cabaret, en amitié avec Jean-Michel Ribes.
François Morel
204 représentations entre le 5 janvier 2006
et le 17 juin 2008
Un spectacle de François morel
et Jean-Michel Ribes
Musique composée* et interprétée par Reinhardt Wagner
*sauf pour les musiques de Vincent Delerm
(Les Documentaires) et Juliette (Paulo Virginie)
Mise en scène et textes Jean-Michel Ribes
Textes et interprétation des chansons François Morel
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène nationale de La Rochelle
et le Théâtre du Rond-Point
Production déléguée
Valérie Lévy et Corinne Honikman
Sortie du disque chez Polydor en novembre 2006
et du DVD en mars 2007
J’ai eu l’idée de ce spectacle en pensant à Olivier Broche. Sa passion pour le cinéma, sa véhémence parfois, m’ont rappelé celles de Jean-Louis Bory du temps où il participait au « Masque et la Plume ». J’ai approfondi l’idée, je me suis dit que nous pouvions avoir là une belle idée de spectacle qui permettrait de parler du cinéma, de la critique, de l’amitié. Parler également de cette passion de débattre, de s’opposer qui rend les amitiés plus fructueuses, la vie plus vivante.
Jean-Louis Bory et Georges Charensol, c’est pour faire vite, la querelle des modernes et des anciens. Jean-Louis est écrivain. Il a eu le prix Goncourt juste après guerre. Il épouse les combats des années 70 (la libération sexuelle, la défense de l’homosexualité, le féminisme). Georges, est plus âgé, il a écrit plusieurs livres sur ses amis peintres, il regarde le monde et le cinéma avec de la distance. Il « nuance ». Il est moins passionné sans doute mais ne confond jamais les enjeux de sa propre vie avec ceux des films qu’il doit critiquer.
Un jour, au café, avant l’enregistrement d’une émission du « Masque et la Plume », Bory et Charensol ont décidé de théâtraliser leurs différences de vue sur le cinéma. Pour revitaliser l’émission, ils ont décidé de mettre en scène leurs dissensions, leurs différences, leurs oppositions. Le succès de leur duo vient sans doute de là. Ils se sont amusés à être parfois méchants l’un vis à vis de l’autre mais leurs relations étaient sous tendues par un vrai respect mutuel, peut-être une affection.
J’ai eu envie de décontextualiser les échanges entre les deux critiques. Oublier le cadre de l’émission de radio, oublier le présentateur, les autres protagonistes et se concentrer juste sur deux personnages, sorte de Bouvard et Pécuchet dont les seuls sujets de conversation seraient les films qu’ils ont vus. Nous sommes dans une salle de cinéma, un peu défraichie. Certains fauteuils sont cassés. On se dit qu’on est à la fin d’une période, celle de la cinéphilie. L’ouvreuse, sans doute, sur son i-phone regarde négligemment Lawrence D’Arabie…
François Morel
Création le 3 mai 2011
à La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle
172 représentations au 30 septembre 2013
avec Olivier Saladin, Olivier Broche,
et Lucrèce Sassella
Mise en scène François Morel
avec la collaboration artistique de
Christine Patry
Adaptation François Morel
et Olivier Broche
d’après les échanges entre
Georges Charensol et Jean-Louis Bory
à l’émission radiophonique
« Le Masque et La Plume » sur France-Inter
Décor Edouard Laug
Lumières Gaëlle de Malglaive, assistée d’Alain Paradis
Costumes Christine Patry et Pascale Bordet
Chorégraphie Lionel Ménard
Direction technique Denis Melchers
Les Productions de l’Explorateur,
La Coursive – Scène Nationale de La Rochelle
avec le soutien de l’INA, de France INTER
et d’Ermont sur scènes – Commune d’Ermont
Décor réalisé par les ateliers du Théâtre du Nord
Production déléguée :
Valérie Lévy et Corinne Honikman
assistées de Constance Quilichini
Les Rouchon* écrivent aux Brochon** mais quelquefois aussi les Brochon qui ne veulent pas être en reste écrivent aux Rouchon. Cela donne une correspondance abondante, volumineuse, fourmillante, postée de partout, de Venise, de Caracas, de Colombey les deux Eglises… Chez soi, on rêve de croisières, d’azur et de palmiers. Là-bas, si loin, on a la nostalgie de ses chaussons. Les points de vue se mêlent aux images du monde. Bien sûr, les clichés se trouvent souvent de chaque côté de la carte mais le goût de l’ailleurs reste intact. L’aventure qui se trouve parfois au coin de la rue ne peut être partout en même temps.
*Roger et Madeleine
**Robert et Janine
François Morel
Création Festival d’Avignon 2006
317 représentations au 30 septembre 2013
Prochaine tournée septembre-octobre 2010 et janvier-février 2011
Un spectacle écrit et mis en scène par François Morel
avec François Morel et Olivier Saladin
et la voix de Jean Rochefort
Marionnettiste Didier Girard
Scénographie Claudine Bertomeu
Lumière Alain Paradis
Assistant mise en scène Benjamin Guillard
Régie lumière Alain Paradis
Construction marionnettes Claire Rabant,
Didier Girard et Arnaud Louski-Pane
Les Productions de l’Explorateur – Théâtre de Nîmes
avec l’aide du Théâtre 71 de Malakoff
et de La Comète SN Châlons-en-Champagne
Production déléguée
Valérie Lévy et Corinne Honikman
Cette œuvre a bénéficié de l’aide à la production
et à la diffusion du Fonds SACD
Durée 1h15
Production déléguée :
Valérie Lévy et Corinne Honikman
assistées de Constance Quilichini
192 représentations entre le 8 novembre 2007
et le 30 avril 2009
de Roland Dubillard
Mise en scène Anne Bourgeois
avec Jacques Gamblin et François Morel
Scénographie Edouard Laug
Lumière Laurent Béal
Costumes Isabelle Donnet
Son Jacques Cassard
Assistante à la mise en scène Marie Heuzé
Direction technique Pascal Araque
Produit par le Théâtre du Rond-Point, Félix Ascot, Les Productions de l’Explorateur
et La Coursive – Scène Nationale de La Rochelle